Jour Quarante-Deux









Nos savoirs sont déjà là, offerts jusqu’à l’étonnement
Les secrets ne sont pas gardés
Par un pur hasard,  nos corps sont pleins d’intelligence
Durs au labeur de notre parole
Ils la portent
Ils se taisent pour la laisser sombrer dans sa corruption
Nos corps sont le modèle
Toujours loin devant notre inconsistance
L’étrange aisance de leur découverte
Sert de boussole à nos faux-pas