Bien-sûr
J’ai peur
Je sais plus tard quand je m'endors
C’est ailleurs que s’avancent
Ceux qui s'étaient cherchés
Pris dans la vigilance des pentes où nous glissons
Nos dunes sont invisibles
Mais il y a ses mains, ses mains
Qui me rappellent à moi
Posées sur les pans de ma mémoire
Elle le soutiennent
Et me remplace pendant son absence
Je veille
Pris dans la vigilance des pentes où nous glissons
Nos dunes sont invisibles
Mais il y a ses mains, ses mains
Qui me rappellent à moi
Posées sur les pans de ma mémoire
Elle le soutiennent
Et me remplace pendant son absence
Je veille