Jour Quatre





Bien-sûr
J’ai peur
Je sais plus tard quand je m'endors
C’est ailleurs q
ue s’avancent 
Ceux qui s'étaient cherchés
Pris dans la vigilance des pentes où nous glissons
Nos dunes sont invisibles
Mais il y a ses mains, ses mains
Qui me rappellent à moi
Posées sur les pans de ma mémoire
Elle le soutiennent
Et me remplace pendant son absence
Je veille