Jour Sept





Ce qui se perd dès qu’il tourne le dos
Brille loin

Dans l’obscurité de mon ignorance
Ce qui se perd de moi
Le jeu
L’abondance
La peau affinée des sens à vif
Briller
Briller
La lumière de lui plaire
  Et l’arrogance
Un salto pour ses beaux yeux
Plein sa vue de ma perfection