Jour Vingt-Quatre







Il est là
Dans l’effondrement du temps qui nous traverse
Dans les creux
Il se maintient sanglé à moi
Par notre commune incrédulité
Il est là
Dans une constance étonnante
Celle que je lui octroie
J’ai fini par croire en l’état de cet esprit
Qu’il déposait pièce par pièce dans mes ressassements
Il a stabilisé ses positions
Plusieurs cercles autour de mes angles